# 9 Les éco-tips, la pollution de l’eau
A travers cette série d’articles, nous vous proposerons chaque semaine un éclairage sur l’impact écologique de la production de vêtements dans le monde. Avec LO NEEL, nous nous engageons pour la planète, notre Terre-mère qui nous accueille et nous héberge. Nous refusons de participer, de près ou de loin, à sa pollution, dégradation et destruction.
Il nous a semblé important de dénoncer les pratiques abusives mais aussi de proposer des solutions pérennes au quotidien. Nous espérons que ces informations vous permettront de mieux comprendre les dessous de la production de masse de l’industrie de la mode.
La team LO NEEL vous accompagne également dans une prise de conscience individuelle écologique, en proposant à chaque article de cette série des éco-tips à réaliser au quotidien. En les suivant, cela vous permettra d’avoir un comportement et une consommation plus saine et éthique.
Voici l’eco-tips # 9 !
20% de la pollution industrielle de l’eau vient de l’industrie textile par la production et la teinture.
200 000 tonnes de teintures sont reversées dans des cours d’eau chaque année.
Solution : choisir des vêtements composés de fibres organiques ou naturelles qui ne nécessitent pas de produits chimiques pour être fabriqués.
A travers les pièces LO NEEL, nous proposons une pluralité de matières innovantes. Elles sont toutes naturelles ou recyclées. Nous nous sommes assurées qu’elles aient été produites de manière saine et écologique. Ce mode de production ne nécessite pas de produits chimiques. Nos pièces, par exemple, sont teintes avec de la teinture fabriquée à partir de composantes naturelles. Ainsi, les fibres qui composent nos pièces sont organiques et ne peuvent, de ce fait, pas polluer la planète. Par exemple notre veste ANANAS a été fabriquée à partir de fibre d’ananas lui-même composé grâce à la récupération des déchets de la production d’ananas. Les feuilles mortes des fruits sont récupérées et retravaillées. Chaque année, il y a approximativement 13 millions de tonnes de déchets provenant de la production agricole globale d’ananas. Si l’on utilisait les déchets des 10 pays les plus producteurs d’ananas, nous pourrions théoriquement remplacer environ 50% de la production globale de cuir sans planter un seul ananas. Cette fibre naturelle et 100% organique ne nécessite pas de produit chimique pour être produite.
Au quotidien, nous vous conseillons de faire attention au comportement des entreprises que vous sollicitez. La pollution fluviale est malheureusement très répandue. En effet, faire traiter ses déchets est payant pour les entreprises. Cela explique les dépôts sauvages dans la nature, la forêt ou les cours d’eau. Faites attention aux pratiques de greenwashing utilisées bien trop souvent pour attirer les consommateurs.
